Rapport du HCAAM « Les dépassements d’honoraires des médecins : état des lieux »

02.10.2025

Le Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie (HCAAM) a adopté un rapport établissant un état des lieux des dépassements d’honoraires des médecins. Ce rapport est accompagné d’une synthèse et d’études inédites en annexes.

La hausse des dépassements d’honoraires s’accélère 

Le montant total des dépassements d’honoraires des médecins spécialistes atteint 4,3 Mds€ en 2024, en forte accélération depuis 2019 (+5% par an en valeur réelle, hors inflation). Cette dynamique résulte :

  • d’une hausse de la part du secteur 21  parmi les spécialistes : en 2024, 56% des spécialistes sont en secteur 2 contre 37% en 2000. Aujourd’hui, lorsqu’ils s’installent, les trois quarts des jeunes spécialistes choisissent le secteur 2 : la proportion était des deux tiers en 2017. 
  • mais aussi, depuis 2020, de la hausse des taux de dépassements et de la baisse de la part d’activité à tarifs opposables des professionnels en secteur 2, à rebours de la décennie 2010 où les taux de dépassements avaient baissé et où la part d’activité à tarifs opposables avait progressé.

Ces facteurs devraient conduire à ce que la dynamique des montants de dépassements se poursuive dans les années à venir.


Les dépassements, une part souvent importante des revenus des médecins

Les dépassements d’honoraires représentent aujourd’hui plus du tiers des revenus professionnels pour certaines spécialités.
Les dépassements représentent une part plus importante des revenus dans certaines spécialités dont les revenus sont plus faibles en moyenne, alors qu’ils tiennent une place bien moindre dans les revenus des certaines spécialités techniques et souvent intensives en capital, dont les revenus sont pourtant les plus élevés. Pour partie, la dynamique des dépassements joue un rôle de compensation de l’érosion des revenus tirés des tarifs opposables dans certaines spécialités. 


Des situations très contrastées au sein de chaque spécialité

Les dépassements ne s’expliquent toutefois pas intégralement par les inadéquations tarifaires auxquelles sont confrontées certaines spécialités. En effet, au sein de toutes les spécialités, on constate une très forte dispersion des taux de dépassement pratiqués. 10% (et parfois près de 20%) de spécialistes appliquant les dépassements les plus élevés dépassent souvent le double des dépassements moyens de leur spécialité. A titre d’exemple pour les 6 700 chirurgiens en secteur 2, les dépassements sont en moyenne de 58 % des « tarifs sécu ». Mais pour 10 % d’entre eux, le dépassement est de 184 %, c’est-à-dire que le tarif facturé représente presque trois fois le « tarif sécu ». 
La propension des spécialistes à appliquer des dépassements élevés : 

  • croît avec l’âge des praticiens, 
  • croît avec le niveau de vie du territoire sur lequel ils exercent : les niveaux de dépassements sont ainsi particulièrement élevés dans les grandes métropoles ;  
  • et est d’autant plus forte que les médecins en secteur 1 sont moins nombreux sur leur territoire et dans leur spécialité. 

On constate, pour l’ensemble des spécialités, que les praticiens appliquant les dépassements les plus élevés ont une activité plus réduite que leurs confrères.  
La possibilité d’appliquer des dépassements d’honoraires élevés facilite l’installation dans les zones métropolitaines à niveau de vie élevé, où de fait la part de spécialistes en secteur 2 est nettement plus élevée. Les dépassements d’honoraires contribuent donc à aggraver les inégalités territoriales dans la répartition des spécialistes.


Les dépassements d’honoraires peuvent induire un reste à charge élevé pour les patients

Par exemple, pour une intervention de prothèse totale de la hanche, près de la moitié des patients s’acquittent de dépassements (630 € en moyenne et plus de 1000 € dans 10% des cas). De plus sur l’ensemble de l’épisode de soins qui entoure cette intervention, près de 80% des patients2  sont exposés à au moins un dépassement. En cumul, cela fait alors 700 € en moyenne et plus de 1400 euros pour 10% de ces patients.
Les dépassements d’honoraires des médecins sont pris en charge à environ 40% par les complémentaires santé, et représentent au total 14% du reste à charge des ménages. 
Les ménages les plus modestes couverts par la complémentaire santé solidaire (C2S)3  sont en théorie protégés contre les dépassements puisque les praticiens ont l’interdiction de leur facturer des dépassements d’honoraires. Mais l’effectivité de cette protection est atténuée par le fait que beaucoup d’assurés ne font pas valoir leurs droits. Pour les autres assurés, y compris en affection de longue durée (ALD), la prise en charge par les complémentaires santé est variable selon le type de contrat et rarement intégrale. Les contrats d’entreprise, qui couvrent surtout des salariés du secteur privé et leurs ayant-droits offrent des garanties généralement supérieures que les contrats individuels, plus fréquents parmi les personnes âgées et les personnes sans emploi.


Une exposition aux dépassements inégale et non lisible

L’exposition aux dépassements est très inégale entre les assurés : elle varie selon le lieu (dépassement par patient 4 fois plus élevé à Paris qu’en moyenne nationale), et selon la consommation de soins : les 70-79 ans paient deux fois plus de dépassements que les 30-39 ans. 
Les dépassements progressent avec le niveau de vie. Mais les patients habitant des communes modestes se trouvent aussi exposés à des dépassements d’honoraires, du fait du faible nombre de médecins en secteur 1, sans que cela résulte de choix des patients.
Les dépassements d’honoraires sont variables, non prévisibles et suscitent chez beaucoup de patients une incompréhension face à un système difficilement lisible. Les trois quarts de la population vivant en France estiment que les dépassements d’honoraires pratiqués par certains médecins ne sont pas justifiés.  

Après ce rapport consacré à l’état des lieux, le HCAAM va poursuivre ses travaux pour examiner des propositions de réformes envisageables.

Documents à télécharger :

Rapport et synthèse 

1 million de personnes âgées en “mort sociale” en 2030 : l’alerte des Petits Frères des Pauvres

A l’occasion de la publication du 3ᵉ Baromètre “Solitude et isolement : quand on a plus de 60 ans en France” le 30 septembre 2025, l’association les Petits Frères des Pauvres alerte sur l’explosion de la “mort sociale” chez les personnes âgées. En effet d’après ses chiffres, 750.000 d’entre elles sont concernées en 2025, ce qui représente une hausse de 42% en 4 ans et de plus de 150% en 8 ans. Avec le vieillissement de la population, ce chiffre pourrait même atteindre le million de personnes âgées en situation de “mort sociale” en 2030, selon l’association.

La “mort sociale” désigne une situation d’isolement extrême : des personnes âgées qui ne rencontrent quasiment jamais, ou très rarement, d’autres personnes”, expliquent les Petits Frères des Pauvres, dans un communiqué. D’après l’association, ce phénomène a davantage tendance à toucher les personnes âgées sans famille proche, celles qui n’utilisent pas Internet, les plus modestes, et celles qui sont concernées par une perte d’autonomie.

Quels sont les chiffres de l’isolement social des personnes âgées en 2025 ? L’association tire la sonnette d’alarme

Dans son dernier baromètre, l’association souligne également que si le sentiment de solitude semble être en léger repli, il reste durable pour plus de 4 millions de personnes âgées. Par ailleurs, le nombre d’aînés isolés de leur entourage proche est de 2 millions en 2025, ce qui représente une augmentation de 120% en 8 ans, et environ un tiers des personnes âgées n’ont personne pour aller se promener ou discuter de choses personnelles. Le constat des Petits Frères des Pauvres est clair : les personnes de 80 ans et plus ainsi que les plus modestes sont les populations les plus à risque de solitude de d’isolement.

Le diagnostic est posé depuis des années et empire sous nos yeux. Pourtant, les pouvoirs publics se contentent de demi-mesures et de bricolages”, dénonce Yann Lasnier, délégué général des Petits Frères des Pauvres. Au-delà de ces chiffres préoccupants, le baromètre de l’association fournit également ses recommandations pour prévenir l’isolement social des personnes âgées. Elle préconise notamment de :

  • chiffrer le coût économique de l’isolement social pour la société française ;
  • intégrer systématiquement la solitude et l’isolement social comme facteurs de risques dans les campagnes de prévention publique ;
  • produire des données officielles régulières sur la solitude et l’isolement social de la population, en affinant les tranches d’âges pour les personnes âgées ;
  • instaurer une coopération internationale entre les pays du G7 sur la transition démographique et l’isolement social ;
  • créer une délégation interministérielle à la Prévention et à la Lutte contre l’isolement social.

Ce qu’il faut retenir sur les chiffres du baromètre des Petits Frères des Pauvres sur l’isolement social des personnes âgées

  • D’après le nouveau baromètre des Petits Frères des Pauvres, 750.000 personnes âgées seraient en situation de “mort sociale” en France en 2025, une augmentation de 42% en 4 ans.
  • La “mort sociale” correspond à une situation d’isolement extrême susceptible d’avoir de graves conséquences sur la fin de vie des personnes âgées concernées.
  • Pour prévenir l’isolement social des personnes âgées, l’association a partagé plusieurs recommandations à l’échelle française et internationale.
Indemnisation des maladies professionnelles: un système décourageant pour les patients, selon la Cour des Comptes

Octobre 03, 2025

Trop complexes et peu lisibles, les procédures d’indemnisation des maladies professionnelles sont décourageantes pour les patients, a estimé vendredi la Cour des Comptes, s’étonnant par ailleurs que les dossiers soient plus ou moins souvent validés d’une région à une autre.

« La complexité du dispositif de reconnaissance des maladies professionnelles et les contraintes liées aux procédures n’en facilitent pas l’appropriation par les médecins et peuvent décourager de nombreuses victimes », résume la Cour dans un rapport.

L’Assurance maladie prévoit des indemnisations particulières pour les personnes atteintes d’une pathologie à cause de leur travail. 

Ces pathologies peuvent, par exemple, être des cancers liés à l’exposition à certaines substances. La grande majorité des remboursements, néanmoins, concerne des troubles musculo-squelettiques (TMS) et, de plus en plus, des affections « psychosociales » comme des burn-out.

En 2023, plus de 85.000 maladies professionnelles ont ainsi été reconnues, elles restent largement sous-déclarées.

La mise en œuvre d’un dossier reste décourageante.

« Si une victime est atteinte aux deux épaules, elle doit donc répondre deux fois au même questionnaire, ainsi que ses employeurs successifs », souligne-t-elle, appelant à simplifier et dématérialiser la procédure.

La complexité est aussi liée, constate la Cour, à un système « dual ».

En effet, les maladies professionnelles doivent théoriquement donner lieu à une indemnisation quand la situation du patient correspond à un tableau préétabli.

Ces tableaux incluent la nature de la pathologie, les professions à risque, ainsi que le délai entre le diagnostic et la période où le patient était exposé: si tous les critères sont remplis, le remboursement est automatique.

Mais ces tableaux, au nombre d’une centaine pour le régime général de l’Assurance maladie, sont hétéroclites et mal mis à jour. Il n’en existe par exemple pas pour les troubles psychosociaux.

Un autre processus, dite complémentaire, existe donc depuis une trentaine d’années. Elle permet à des médecins de juger au cas par cas la situation du patient.

Mais cette procédure est « saturée », regrette la Cour des comptes, notant que le délai moyen de traitement y est de plus de six mois.

La Cour s’étonne en outre de grande disparités régionales quant au sort fait à ces dossiers: ainsi, moins d’un cinquième des dossiers complémentaires sont approuvés en Bourgogne-Franche-Comté, contre plus de deux tiers en Bretagne.

Micro-ondes allumé : ce que vous risquez vraiment pour votre santé selon les scientifiques, « il ne faut pas rester à côté plus de… »

Publié le 16/10/2025

Regarder son plat tourner dans le micro-ondes est une habitude courante. Mais est-ce réellement sans risque pour notre santé ? Les avis des spécialistes divergent.

Omniprésent dans les cuisines françaises, le micro-ondes s’est imposé comme un incontournable de l’électroménager domestique. Il s’est invité sur les plans de travail et dans les meubles intégrés dès les années 1970. Pourtant, une question persiste : les ondes qu’il émet sont-elles réellement dangereuses pour notre santé ? 
Comment fonctionne un micro-ondes ?

Contrairement à une casserole ou un four qui chauffent les aliments de l’extérieur, le micro-ondes agit en faisant vibrer les molécules d’eau présentes dans le plat. Ce mouvement permet de réchauffer nos plats préférés beaucoup plus rapidement, jusqu’à quatre fois plus vite. Ainsi, plus un plat contient d’eau, plus le réchauffement au micro-ondes est efficace.

Tandis que ces appareils ne cessent de conquérir nos cuisines depuis les années 70, la peur des radiations, qui seraient nocives, ne quitte pas les esprits non plus. Depuis plus de cinquante ans, les experts et scientifiques se penchent sur cette question. La technologie d’un four à micro-ondes a-t-elle des effets indésirables sur notre organisme ?

Interrogé un ingénieur répond: « Si votre four à micro-ondes fonctionne avec la porte ouverte, il s’agit sans aucun doute d’une situation dangereuse. Toutefois, lorsque vous vous éloignez du four, les niveaux de rayonnement diminuent de manière exponentielle. »

Selon lui, au fur et à mesure du temps, les développeurs des plus grandes marques de micro-ondes ont tout mis en œuvre pour que les rayons ne se développent pas en dehors du plat réchauffé, par l’appareil mis en cause. Des progrès visant à rassurer les utilisateurs et utilisatrices de micro-ondes.

L’ingénieur est allé plus loin. En effet, les rayons du micro-ondes ont une énergie plus faible que les rayons ionisants comme les rayons gamma ou X. Par exemple, les rayons qui pourraient suffisamment contenir d’énergie pour ioniser les atomes et molécules. Encore plus longues que les rayons UV ou la lumière du jour, les micro-ondes ne sont, à ce sens, pas dangereuses pour le corps.

N’ayez donc plus aucune crainte quant au fait de posséder un four à micro-ondes à la maison. Il en convient tout de même, par mesure de sécurité, de ne pas rester collé au micro-ondes lors de la chauffe du plat. 

Comment se débarrasser des acariens dans la maison ?

Il est naturel de vouloir chasser définitivement les acariens, mais comment s’y prendre ? Voici quelques astuces.

Les acariens sont responsables de près de 45% des allergies. Invisibles, ils sont pourtant partout autour de nous : tapis, moquette, canapés, ou encore dans la literie. Comment les détecter et s’en débarrasser, de manière naturelle ? Quelques conseils.

Comment savoir si l’on a des acariens dans la maison ?

Les acariens sont présents même dans les maisons les plus propres. Ces organismes microscopiques invisibles à l’œil nu sont des arachnides (comme les araignées). Ils se nourrissent de matières organiques (squames, kératine, peau, cheveux, poils, ongles, etc.) et de cellulose. Ils font leur nid dans les lieux humides, chauds ou poussiéreux.

Où trouve-t-on ces petites bêtes ?

Vous trouvez des acariens dans la poussière de maison (à raison de 10 000 acariens par grain de poussière), mais aussi sur :

  • Les rideaux ;
  • Les lits (un matelas peut en contenir jusqu’à 2 millions) ;
  • Les canapés et fauteuils ;
  • Les tapis et moquettes ;
  • Les peluches pour enfants, etc.

Quels sont les signes de la prolifération des acariens ?

Une personne allergique aux acariens peut ressentir des troubles respiratoires (toux, gênes, asthmerhinite) et observer des réactions allergiques. Si vous avez des irritations de la peau (démangeaisonsdermatiteeczéma), cela peut aussi vous alerter sur la prolifération des acariens dans la maison. Il existe dans le commerce des kits de détection d’allergènes d’acariens qui vous permettront de vous en assurer.

Comment se débarrasser des acariens naturellement ?

Il est quasiment impossible d’éradiquer complètement les acariens. En revanche, certains gestes simples peuvent vous permettre d’assainir votre maison et de réduire la quantité d’allergènes chez vous. Voici 10 conseils pour lutter contre les acariens sans utiliser de produits chimiques acaricides :

  1. Aérez régulièrement votre logement et votre literie (les acariens apprécient l’humidité). La règle des 10 minutes par jour permet de réduire le volume de poussières et l’invasion d’acariens.
  2. Faites la poussière et passez l’aspirateur chaque semaine. Certains aspirateurs sont équipés d’un filtre HEPA (Haute Efficacité pour les Particules Aériennes).
  3. Changez les draps, housse de couette et housses d’oreiller au maximum tous les 15 jours. Profitez-en pour saupoudrer un peu de bicarbonate de soude dessus : c’est un antiseptique efficace. Frottez, laissez agir quelques heures et passer l’aspirateur sur le matelas pour aspirer le bicarbonate et les acariens dans le même temps. Un nettoyeur vapeur est aussi un bon allié dans la lutte contre les acariens.
  4. Lavez les draps et le linge de lit à 60°C pour éliminer les acariens, en ajoutant un peu de bicarbonate de sodium avec la lessive.
  5. Évitez les moquettes, et même les tapis si vous avez un terrain allergique et privilégiez le carrelage, lesparquets, le lino. Bannir également les coussins en plumes ou en duvet.
  6. Que vous ayez une allergie aux acariens ou non, investissez dans des housses de couettes, de matelas et d’oreillers traités anti-acariens, et un matelas anti-acarien en latex naturel.
  7. Ne surchauffez pas votre intérieur (les acariens aiment la chaleur). Pour rappel, l’ADEME conseille de maintenir une température de 18-19°C dans la maison au quotidien.
  8. Utilisez des huiles essentielles pour assainir votre maison. Utilisez un diffuseur d’huile essentielle ou ajoutez dans un vaporisateur rempli d’eau une vingtaine de gouttes d’HE (arbre à thélavandecitron, litsée citronnée, romarin, eucalyptus, menthe poivréefenouil) à vaporiser régulièrement dans la chambre, la salle de bains ou les pièces à vivre. Attention, n’utilisez pas de vaporisateur d’huile essentielle si vous êtes asthmatique. Si vous n’avez pas d’huiles essentielles, remplacez-les par un peu de vinaigre blanc.
  9. Ne laissez pas trainer de vêtements dans votre chambre : les poussières allergisantes pourraient se déposer dessus.
  10. Lavez souvent les housses de coussin, les rideaux, les peluches des enfants, les textiles, etc.
Campagne de vaccination Covid / Grippe Démarrage le 14 octobre 2025 

jusqu’à fin janvier 2026

Les campagnes de vaccination contre le Covid et la grippe saisonnière seront menées cette année encore de manière conjointe, à partir du 14 octobre.

Qui est concerné en priorité ?

  • Les personnes de 65 ans et plus,
  • Les personnes, âgées de 6 mois ou plus, atteintes de comorbidités ayant un risque plus élevé de formes graves de la maladie
  • Les femmes enceintes,
  • Les personnes immunodéprimées,
  • Les résidents en établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) et unités de soins de longue durée (USLD) 
  • Les professionnels de santé et de l’accompagnement.

Nouveautés de la campagne 2025-2026

  • Une formule vaccinale antigrippale mise à jour, adaptée aux souches de virus circulant cette année.
  • COVID-19 : un nouveau vaccin issu du stock État sera mis à disposition des effecteurs de la vaccination. Le portail de commandes est ouvert depuis le 22 septembre 2025, permettant d’organiser rapidement la protection conjointe contre la grippe et la COVID-19.
  • La possibilité, selon les recommandations médicales, d’associer la vaccination contre la grippe et celle contre la COVID-19 lors du même rendez-vous.